• Impératif

    Une faute fréquente entache l'emploi de l'impératif présent des verbes du premier groupe notamment, à savoir le recours à un s final à la deuxième personne du singulier (par analogie avec le présent de l'indicatif) alors qu'il n'en faut pas.

    Rappelons d'emblée la règle :

    À la deuxième personne du singulier de l'impératif présent, les formes en -es et -as perdent leur s final sauf devant les pronoms en et y non suivis d'un infinitif (l'ajout de ce s euphonique servant à éviter le contact entre deux voyelles).


    Il résulte de cette règle que, à la deuxième personne du singulier de l'impératif présent, ne prennent pas de s final (sauf devant les pronoms en et y non suivis d'un infinitif) :

    • les verbes du premier groupe,

    Parle-lui ! mais Parles-en à ton professeur !

    Mange de la soupe ! mais Manges-en !

    Regarde-la ! mais Regardes-y à deux fois !

    • les verbes du deuxième et troisième groupes cueillir, accueillir, recueillir, souffrir, tressaillir, recouvrir, couvrir, découvrir, ouvrir, entrouvrir, assaillir et offrir, ainsi que aller et savoir.

    Ouvre la porte et cueille des cerises !

    Va dans ta chambre ! mais Vas-y !

    Va y mettre ton grain de sel ! Va y voir ! (Y suivi d'un infinitif → pas de s ni de trait d'union.)

    Sache-le !

     

    Astuce

    En synthèse, on retiendra que les désinences -es et -as n'existent pas à la deuxième personne du singulier de l'impératif présent (sauf devant les pronoms en et y non suivis d'un infinitif).

     

    Séparateur de texte


    Remarque 1
    : Le trait d'union se place entre le verbe et le ou les pronoms qui s'y rapportent sauf en cas d'apostrophe due à une élision. On notera à ce propos que me, te, le, la s'élident devant en et y, sauf si ces derniers dépendent d'un infinitif.

    Dites-le-moi !

    Parle-lui-en ! (et non parle-lui-z-en, parle-z-en-lui) mais Parle-m'en !

    Va-t'en ! (t' correspond à l'élision de te-en) mais Va te laver les mains ! (sans trait d'union, le pronom te se rapportant à laver, pas à va).

    Remarque 2 : Dans une tournure impérative, en et y se placent toujours après le pronom conjoint.

    Mettez-m'en une douzaine ! (Et non mettez-en-moi une douzaine ; m' correspond à l'élision de me-en.)

    On notera que les formes m'y, t'y, l'y, grammaticalement correctes, sont pratiquement inusitées (« L'inaccoutumance nous en fait trouver le son désagréable », écrivait en 1849 Bernard Jullien dans son Cours supérieur de grammaire). Mieux vaut tourner la phrase autrement : mène-moi là, mettez-le là, jette-toi dedans (de préférence à mène-m'y, mettez-l'y, jette-t'y).

    Remarque 3 : Certains verbes (comme devoir, falloir, pleuvoir, pouvoir) n'ont pas d'impératif.

    Remarque 4 : Cas particulier de avoir et être : Aie confiance, sois rassuré !

    Remarque 5 : Voir également les billets Ayons, soyez et T'inquiète.

    Impératif

    Livre d'Anne-Marie Chapouton, éditions Flammarion

     

    « Soi-disantCauchemar »

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  • Commentaires

    1
    Jeanmolene
    Mercredi 5 Février 2014 à 15:18

     

    A noter le cas du verbe faire, qui à la deuxième personne du pluriel du présent de l'indicatif et de l'impératif, s'écrit avec un "s" : faites.

    2
    regor
    Dimanche 31 Août 2014 à 13:02

    pourquoi prends prend un s a l'imperatif


     

    3
    Dimanche 31 Août 2014 à 19:40

    Selon Hanse : "Sauf pour avoir, être, savoir, vouloir, l'impératif présent reproduit les formes correspondantes de l'indicatif présent ; mais la 2e personne du singulier ne se termine pas par es ni as, sauf devant les pronoms en et y non suivis d'un infinitif."

    On écrira donc prends, à la deuxième personne du singulier de l'impératif comme de l'indicatif présent.

    4
    Michel JEAN
    Lundi 16 Mars 2015 à 10:00

    Bonjour, le caractère premier de la langue, c'est l'oral. L'écrit, helas, est, historiquement second. Avec les droles d'habitudes prises, allez faire (comment???) prononcer: parle-lui-:en !!! trés correctement, pas évident et c'est bien triste...

    5
    Bhuvana
    Mardi 26 Septembre 2017 à 07:54
    Parles en français!ou
    Parle en français?
      • Mardi 26 Septembre 2017 à 09:34

        On écrit : Parle en français ! Dans ce cas, en effet, il ne s'agit pas du pronom en, mais de la préposition.

    6
    Grand-Mamie
    Dimanche 1er Octobre 2017 à 10:25

    Il me semble, pourtant, que lorsque j'étais jeune (aujourd'hui 75 ans...) j'avais appris  que l'on écrivait :

    manges ton assiette, bois ton verre, danses....

    et des amies de mon âge, ont la même impression....

    on dit bien quand il y a 2 personnes :

    mangez, buvez, dansez.......

      • Dimanche 1er Octobre 2017 à 16:16

        Manger et danser sont des verbes du 1er groupe, qui font au présent de l'impératif : mange, mangeons, mangez ; danse, dansons, dansez.
        Boire est un verbe du 3e groupe, qui fait au présent de l'impératif : bois, buvons, buvez.

    7
    daniel
    Lundi 30 Octobre 2017 à 18:12

    Je croyais que le point d'exclamation se plaçait à la fin de la phrase exclamative. Pourtant dans tous les exemples ci-dessus je n'en vois aucun. Est-ce une faute ?

      • Lundi 30 Octobre 2017 à 21:02

        C'est préférable, en effet...

    8
    Fred
    Dimanche 29 Juillet 2018 à 13:18
    Bonjour, il me semblait avoir appris que le "s" final devait être remis lorsque la phrase était à la négative. A savoir que j'écris comme vous le dites "Mange !" sans le "s", là, pas de problème ! Mais, pour ma part, j'écris "Ne manges pas !" avec un "s". C'est une règle dont je me sentais extrêmement sûr jusqu'à ces derniers jours où je ne parviens pas à la retrouver et où je ne trouve que la règle inverse. Est-ce que je fais une confusion avec une autre règle se rapprochant ou est-ce une règle qui a été abolie par je-ne-sais quelle réforme ?
      • Lundi 30 Juillet 2018 à 18:26

        Peut-être confondez-vous avec la règle concernant la place du pronom complément (laquelle change selon que l'impératif est positif ou négatif) ? Comparez : Baisse-toi ! et Ne te baisse pas ! Avec le verbe manger, cela donne : Manges-en ! (avec s euphonique dû à la présence du pronom en) et N'en mange pas !

    9
    frank
    Lundi 27 Août 2018 à 17:03

    Cher monsieur,

    Ecrit-on :  "fais-le-moi savoir" ou" fais le moi savoir" ?

      • Lundi 27 Août 2018 à 18:43

        Cf. Remarque 1 : Dites-le-moi ! donc Fais-le-moi savoir !

    10
    frank
    Lundi 27 Août 2018 à 19:23

    Merci infiniment. Je croyais que les deux pronoms compléments dépendaient de l'infinitif.

      • schtroumpf grognon
        Mercredi 20 Mars 2019 à 02:41

        Au premier abord, j'ai l'impression que moi dépend de l'impératif, mais que le dépend de l'infinitif; mais j'aurais quand même mis des traits d'union.

    11
    Raoul
    Dimanche 17 Mars 2019 à 22:45

    Bonjour,

    Je publie ici car je ne sais pas à quel autre endroit poser ce commentaire.

    Savez-vous pourquoi avec certains verbes en "-eler" on met l'accent grave sur le -e de l'avant-dernière syllabe et pour d'autres verbes, on double la conssonne "-ll" ? Par exemple, "geler", "receler" deviennent "il g-èle" et "il rec-èle" mais "appeler" et "épeler" deviennent "il app-elle" et "il ép-elle".

    12
    Sanae
    Dimanche 2 Juin 2019 à 14:29
    Parles-en nous ou parle-nous en ?
      • Dimanche 2 Juin 2019 à 15:15

        Parle-nous-en ! (cf. Remarque 1).

    13
    Juanito
    Lundi 20 Janvier 2020 à 07:07
    Peut-être votre site aura
    t’il une influence sur une
    pratique orale de certains commentateurs
    ou plutôt commentatrices
    qui font traîner des ffff !
    à la fin des mots se terminant par O ou OU
    oralement
    Ce qui donne
    Velofff !!!!!
    couffff!!!!
    On l’entend de plus en
    plus surtout à la radio
    Est ce une mode tendance ?
    Moi , ça m’agasse et je
    ne dois pas être le seul
    Merci de faire suivre
    auxfffff! Intéressées
    ....si vousfffff! aveu quelques infffffluences !!!
    14
    Michel Jean
    Lundi 20 Janvier 2020 à 09:14

    C’est un phénomène connus et très bien décrit en phonétique combinatoire.

      • Vallangue
        Mardi 8 Septembre 2020 à 11:03

        Bonjour, vous parlez sans doute de phonologie combinatoire ? la phonétique étant une discipline qui étudie les mécanismes physiques de la production des sons ...

    15
    Sanae
    Mardi 21 Janvier 2020 à 06:43
    Merci à Marc81
    16
    yves
    Lundi 2 Mars 2020 à 12:34

    Aragon écrit cependant dans son poème L'amour n'est pas un mot:

    Prends ce fruit lourd et palpitant

    jette-z-en la moitié véreuse

    z fautif?

      • Lundi 2 Mars 2020 à 13:06

        Licence poétique pour "Jettes-en la moitié véreuse" ?

    17
    Philippe
    Jeudi 23 Juillet 2020 à 17:24
    Philippe

    Bonjour,
    Je crois qu'il serait intéressant d'enrichir le contenu en traitant le thème de la forme négative de l'impératif, surtout quand il s'agit d'incorporer un ou plusieurs pronoms compléments, qui parfois changent de graphie (en incorporant le trait d'union), de nature (pronom complément COD ou pronom tonique) et de place quant à l'ordre de plusieurs pronoms compléments qui s'inverse selon que la forme soit négative ou pas, comme par exemple : 

    • Donne-le-moi (forme affirmative)
    • Ne me le donne pas (forme négative) 

    Mais :

    • Donne-le-lui
    • Ne le lui donne pas

    Les nuances sont assez nombreuses pour que l'on en parle.
    Je vous fais confiance pour trouver tous les cas particuliers.

    Merci, et mes félicitations pour votre travail.

    18
    Olga Rythme
    Lundi 5 Octobre 2020 à 17:59

    Bonjour,

    je trouve ce site (blog) plutôt bien fait. Les explications sont claires, et la présentation plutôt bien aussi. Je ne suis pas un grand adepte du FB, mais de-ci de-là j'aime y partager des choses que je trouve intéressantes.

    Ce qui est le cas notamment pour cette page sur l'impératif. J'aimerais bien la partager sur ... mon mur ? ma story ??? 

    Tellement de contemporains font l'erreur du 's' à la deuxième personne du singulier même pour les verbes se terminant en 'er', j'ai envie de le leur rappeler. Même les francophones font l'erreur :)

    Bonne continuation

    19
    Mary
    Jeudi 9 Septembre 2021 à 21:18
    Mary

    Est-ce que le trait d'union est obligatoire entre le verbe et le pronom "moi" ? Quelle est la règle ?

    Parle-moi ! Aide-moi ! Dis-moi !

    Ces propositions sont correctes, ou le trait d'union est en trop ?

    Merci

      • Vendredi 10 Septembre 2021 à 07:39

        Voir la remarque 1 ci-dessus.

    20
    simonnet
    Jeudi 18 Mai 2023 à 11:16

    Bonjour.

     

    Je vous prie de m’excuser pour la longueur de cette intervention.

     

    Dans le chapitre du « Bon Usage », de Maurice Grevisse, sur les pronoms personnels, on trouve les modèles suivants : « Ces livres, regardez-les-lui relier » et « Ces livres, regardez-le les relier ».

     

    Sur le site du Projet Voltaire, on trouve expliqué qu’il faut distinguer deux situations à l’impératif. L’auteur de ces explications donne les exemples suivants :

    1) « Regardez-le dans le jardin. Que fait-il ? Il joue » donne « Regardez-l’y jouer » ; « Regardez-le jouer. Où ? Dans le jardin » donne « Regardez-le y jouer ».

    2) « Regardez-le. Que fait-il ? Il joue au foot » donne « Regardez-le y jouer » (et non « Regardez-l’y jouer »).

     

    https://www.question-orthographe.fr/question/laissez-le-y-laissez-ly/ 

     

    De fait, la formulation « Regardez-le, dans le jardin, jouer » n’est pas choquante, tandis que « Regardez-le, au foot, jouer » paraîtrait étrange.

     

    Malheureusement, l’intervenant sur ce site ne précise pas ce qui se passe quand on remplace « y » par « en », toujours dans des phrases impératives.

     

    À cet égard, j’ai proposé, sur le Forum littéraire, de transformer à la forme impérative quelques phrases à la forme affirmative, et suggéré les transformations suivantes :

     

    « Il [M. de Chevreuse] en eut tant de regret [de n’avoir pu sauver le duc de Montmorency de la décapitation] que je l’en ai vu moi-même pleurer très-amèrement. » (Pierre de La Porte, Mémoires) ;

    Voyez-m’en pleurer ou Voyez-moi en pleurer.

     

    « Je suis ici avec mon fils, qui est ravi de m’y voir manger une partie de ce qu’il me doit. » (Mme de Sévigné, lettre à Mme de Grignan, du 15 novembre 1684) ;

    Voyez-m’y manger ou Voyez-moi y manger.

     

    « Il annonce Jésus-Christ dans des lieux où ce nom auguste et vénérable n'avait jamais été entendu, Non ubi nominatus est Christus  [=Là où le Christ n’avait point été nommé ; Première épître eux Romains; XV, 20] ; il y voit naître des Églises nombreuses, ferventes, florissantes, qui remplissent toute la terre de l'admiration et de l'odeur de leur sainteté. » (Bourdaloue, Sermon pour la fête de saint Paul, vol. 3) ; 

    Voyez-les-y naître ou Voyez-les y naître.

     

    « On sait que le monde est plein de pièges et d'écueils ; on a l'exemple de mille autres qu'on y a vus et qu'on y voit sans cesse échouer malheureusement. » (Bourdaloue, Oraison dominicale, vol. 4) ;

    Voyez-les-y échouer ou Voyez-les y échouer.

     

    « Seigneur, vous m’en voyez rougir à vos genoux; // J’ai honte de me voir si peu digne de vous. » (Racine, Mithridate, III, 1) ;

    Voyez-m’en rougir ou Voyez-moi en rougir.

     

    « Elle y apporta plus de soins que je ne lui en avais jamais vu prendre. » (Prévost, Manon Lescaut) ;

    Voyez-la en prendre (et non : Voyez-l’en prendre).

     

    « Je lui en ai vu répandre [des larmes] pour une cause bien singulière. » (Marmontel, Mémoires d’un père pour servir d’instruction à ses enfants, livre 6) ;

    Voyez-le en répandre (mais pas : Voyez l’en répandre)

     

    « Tout cela s’en allait aussi gaiement à Versailles, que s’il n’eût été question que d’y voir jouer les eaux. » (Louis-Philippe, Mémoires, vol. 1, p. 97) ;

    Voyez-les-y jouer ou Voyez-les y jouer.

     

    « Dans le fond des marais, habile à te cacher, // Il me fallut moi-même [Antoine] aller t’en arracher, // On ne t’en vit sortir qu’au bruit de ma victoire, // Et tu vins [Octave], tout tremblant, chercher ta part de gloire. » (Alexandre Soumet, Cléopâtre, II, 2 ; 1824) ;

    Voyez-le en sortir (mais pas : Voyez-l’en sortir).

     

    « Ce nom, devenu pour moi presque mythologique, de Swann, quand je causais avec mes parents, je languissais du besoin de le leur entendre dire » (Proust, Du côté de chez Swann, première partie);

    Entendez-les le dire (et non: Entendez-le-leur dire).

     

    « Au dessert, il s’est levé et il a quitté la table, de son propre mouvement. Son regard disait : “Je n’en mangerai pas, c’est entendu. Mais vous n’exigerez pas que je vous en regarde manger, de ces choses...”  Il s’est sauvé dans la pièce voisine et s’est mis à jouer » (G. Duhamel, Les Plaisirs et les Jeux, IV, 3).

    Regardez-l’en manger ou Regardez-le en manger.

     

     

    En fait, voici quelques citations à l’impératif :

     

    « Hé bien (dit-il aussitôt) où demeurent ces gens-là [les sorciers] ? Envoyez-m’en quérir un par mes sergents. » (Antoine Furetière, Le Roman bourgeois) ;

     

    «  Que fait Dieu ? condamne-t-il d'abord ces malheureux, et les juge-t-il? Écoutez-le s'en expliquer lui-même, et voyez les mesures que sa sagesse lui fait prendre, non pas pour donner plus de poids à son jugement, mais, dit saint Bernard, pour servir de modèle aux nôtres. » (Bourdaloue, Sermon pour le vendredi de la cinquième semaine, Sur le jugement téméraire, vol. 1) ;

     

    « Comme à peine nous en sortions [de table], nous entendîmes un carrosse dans la cour : c’était le cardinal de Noailles. Je descendis au-devant de lui, il m’embrassa à plusieurs reprises, et tout aussitôt devant tout le domestique se prit à me dire : "Où est mon neveu ? car je veux voir mon neveu, envoyez-le donc chercher". Je répondis fort étonné qu’il était à Marly. "Oh ! bien, envoyez-y donc tout à l’heure le chercher, car je meurs d’envie de l’embrasser". » (Saint-Simon, Mémoires, volume 4, p. 918);

     

    « Mademoiselle de Chateaubriand [Julie de Chateaubriand, une sœur de François-René] n'était pas fille unique : hélas ! la postérité, en s'attachant à ce nom célèbre, dira les victimes qu'il rappelle, victimes d'un dévouement sans bornes à l'autel et au trône. Un de ses frères, avec tant d'autres braves, avait quitté le sol de la patrie quand sa sœur y périt ; elle avait vu la tombe s'ouvrir devant elle, et ce fut de ses bords qu'elle fit tenir à ce frère, si chéri et si digne de l'être, le dernier gage de sa tendresse. Écoutons−le nous raconter l'effet que cet envoi touchant fit sur son cœur. » (Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, Supplément) .

     

     

    Que pensez-vous exactement de mes propositions pour faire passer certaines phrases de la forme affirmative à la forme impérative ? Lesquelles vous paraissent erronées ?

     

    Je vous remercie d’avance de votre réponse et vous assure de ma très respectueuse considération.

     

     

     

     

     

     

     

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