• Aïe aïe aies...


    « Les amis de DSK (...) "pensaient que s'ils organisaient des partouzes, ils allaient obtenir des bénéfices le jour où tu deviendrais président. Mais ils se trompaient car tu n'aies pas reconnaissant de quoi que ce soit" » (à propos de la sortie du livre de Marcela Iacub, chroniqueuse au journal Libération, sur sa relation avec Dominique Strauss-Kahn).

    (sur lefigaro.fr, le 21 février 2013)





     
    FlècheCe que j'en pense


    Que les choses soient claires : je n'ai en ma possession ni ledit livre ni le dernier numéro du Nouvel Observateur qui en reprend les bonnes feuilles. Impossible, donc, de procéder à la plus élémentaire des vérifications.

    Mais, si l'on s'en tient à la citation parue sur le site du Figaro, on finirait par se convaincre qu'il s'agit bien là d'une écriture de cochon...

    Voilà en tout cas un bel exemple de partouze, si j'ose écrire, entre l'indicatif présent du verbe être (tu es) et le subjonctif présent du verbe avoir (que tu aies).

    Un coup tordu, diront les mauvaises langues, de ces maudits homo... phones !


    Remarque : Dérivé de partie, partouze (on écrit également partouse) a d'abord désigné une partie de cartes avant de prendre son sens moderne de « partie de débauche à plusieurs », précise le Dictionnaire historique de la langue française. Gageons que DSK et ses acolytes ne se contentaient pas de jouer à la bataille...

     

    Flèche

    Ce qu'il conviendrait de dire


    Mais ils se trompaient car tu n'es pas reconnaissant de quoi que ce soit.

     

    « Fut-ilSoi(t)-disant »

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