• Accep(ta)tion

    Accep(ta)tion
    « L'annomination se fonde sur une paronymie morpho-syntaxique des deux termes dont l'un est dans son acceptation propre, l'autre dans une acceptation soit plus imagée (...) soit de sens proche mais syntaxiquement et morphologiquement différent du premier. »

    (Léandre Sahiri, dans Le bon usage de la répétition dans l'expression écrite et orale)

     

     

     
    FlècheCe que j'en pense


    En l'espèce, on se serait bien passé de la répétition d'une coquille aussi... « annominable » !

    Acceptation (le fait de donner un agrément ou de se résigner) pour acception (sens dans lequel on prend un mot) : de toute évidence, la confusion entre paronymes fait rage. À propos d'une figure de style proche de la paranomase, cela frise le cocasse. Qui parle de bon usage ?


    Remarque : Exemple d'annomination – du latin ad (« vers ») et nominatio (« nom ») : Je te dis que tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église (Évangile selon Matthieu).

     

    Flèche

    Ce qu'il conviendrait de dire


    Son acception propre.

     

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